Une famille qui parraine et qui est expatriée à Dubaï a monté un atelier avec des adolescentes françaises.Elles ont fait avec de la récupération des poupées que nous avons emmenées et distribuées aux fillettes parrainées du primaire.
Les petites filles se sont mises tout de suite à caliner les poupées.Elles étaient touchantes.
Ces poupées ont symbolisé le lien entre Dubaï, Nantes et Ouagadougou.
Association d'aide aux enfants du Burkina Faso.
samedi 7 octobre 2017
Les Frères
Nous sommes accueillis par les Frères de la Sainte Famille.
Des liens forts se sont crées avec eux tout au long de ces années
Frere Sylvestre, Directeur de l'école St Joseph
Frère Julien, Directeur de la communauté
Frère Charles, Directeur de l'atelier
Frère Désiré, en formation d'instituteur
Frère Frédéric, infirmier
Frère Ghislain, Instituteur
Frère Edouard qui est le prêtre de la communauté.
Des liens forts se sont crées avec eux tout au long de ces années
Frere Sylvestre, Directeur de l'école St Joseph
Frère Julien, Directeur de la communauté
Frère Charles, Directeur de l'atelier
Frère Désiré, en formation d'instituteur
Frère Frédéric, infirmier
Frère Ghislain, Instituteur
Frère Edouard qui est le prêtre de la communauté.
SOUVENIRS 2017
Chacun de nos séjours au Burkina est différent mais à chaque fois c'est avec une grande émotion que nous quittons nos amis Burkinabe avec qui nous nous sentons si bien.Quand nous sommes là-bas nos préjugés tombent.Chaque rencontre est unique.
Nous revenons tous la tête chargée de souvenirs gravés à jamais.
Gonsé
Nous nous sommes rendus au village de Gonsé où les villageois avaient organisé une cérémonie d'accueil avec discours et danses.C'est toujours un moment chaleureux et émouvant que de nous retrouver au milieu de ces familles heureuses de notre visite.
L'école du village, construite avec de mauvais matériaux s'effondre et les enfants ne peuvent rester dans leurs classes sans risque d'effondrement.
Nous leur avons promis de leur venir en aide.En automne nous mettrons en place un financement participatif pour reconstruire cette école afin que les enfants puissent travailler dans de bonnes conditions.
Après un échange de cadeaux nous sommes rentrés un peu frustrés de ne pouvoir leur donner plus de temps pour échanger mais le groupe repart le soir en France.
L'école du village, construite avec de mauvais matériaux s'effondre et les enfants ne peuvent rester dans leurs classes sans risque d'effondrement.
Nous leur avons promis de leur venir en aide.En automne nous mettrons en place un financement participatif pour reconstruire cette école afin que les enfants puissent travailler dans de bonnes conditions.
Après un échange de cadeaux nous sommes rentrés un peu frustrés de ne pouvoir leur donner plus de temps pour échanger mais le groupe repart le soir en France.
vendredi 6 octobre 2017
Le groupe de femmes: Vilwende
Depuis 18 mois nous aidons le groupe de femmes Vilwende, installé non loin de l'école St Joseph.
Ce sont des jeunes femmes qui ont décidé de se regrouper et de discuter de leurs difficultés quotidiennes.Elles ont crée une association .En discutant avec elles nous avons constaté qu'elles ne parlaient pas français, pourtant langue officielle du Burkina.Elles sont pour la plupart analphabètes.
Seules Cinthia et Clarisse sont allées à l'école jusqu'au CM2 , parlent Français, savent lire et écrire.Nous leur avons proposé de les accompagner et leur faisons dispenser
des cours d'alphabétisation qui ont été mis en place en novembre 2016.
Nous avons assisté à un de leurs cours.Le professeur est agrée et habilitée à leur faire passer des évaluations.Nous avons été frappé de la volonté de ces jeunes femmes et leur souhait de s'en sortir pour aider leurs enfants.
Elles veulent ouvrir un petit restaurant pour récupérer des fonds pour leur permettre de faire vivre leur association.Là aussi nous allons essayer de les accompagner dans cette démarche.
Ce sont des jeunes femmes qui ont décidé de se regrouper et de discuter de leurs difficultés quotidiennes.Elles ont crée une association .En discutant avec elles nous avons constaté qu'elles ne parlaient pas français, pourtant langue officielle du Burkina.Elles sont pour la plupart analphabètes.
Seules Cinthia et Clarisse sont allées à l'école jusqu'au CM2 , parlent Français, savent lire et écrire.Nous leur avons proposé de les accompagner et leur faisons dispenser
des cours d'alphabétisation qui ont été mis en place en novembre 2016.
Nous avons assisté à un de leurs cours.Le professeur est agrée et habilitée à leur faire passer des évaluations.Nous avons été frappé de la volonté de ces jeunes femmes et leur souhait de s'en sortir pour aider leurs enfants.
Elles veulent ouvrir un petit restaurant pour récupérer des fonds pour leur permettre de faire vivre leur association.Là aussi nous allons essayer de les accompagner dans cette démarche.
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